Réaliser une acquisition dans le secteur de l’immobilier dans la Grande Île, en cette période de crise économique, représente un investissement très avantageux. Si la crise touche différents secteurs d’activités, cela se ressent dans celui de l’immobilier, ce qui n’est pas pour déplaire aux éventuels investisseurs, qu’ils soient étrangers et originaires de l’île.
Une conjoncture très avantageuse pour les acheteurs
La crise économique qui perdure depuis 2009 dans la Grande île oblige les propriétaires de biens immobiliers à faire baisser les prix de manière importante. Cette situation est renforcée par une offre diversifiée et d’autant plus abondante. Seuls les quartiers résidentiels tels que Ivandry, Ambatobe ou encore Ambohibao en ce qui concerne la capitale, ou encore les villes touristiques telles que Nosy-Be et Sainte-Marie ont pu garder leur niveau côté prix. Les périphéries, quant à elles ressentent directement les effets de la crise en présentant des prix qui vont à la baisse.
Les critères de sélection des acheteurs
Mais ces prix varient en général, d’un quartier à un autre et d’une région à une autre. Les grandes villes qui sont mieux desservies en électricité et surtout en eau potable restent les lieux de résidence préférés des nouveaux propriétaires et locataires. Au contraire, dans les parties reculées, l’accès à l’eau et à l’électricité peuvent encore se présenter d’une manière dérisoire. En plus des prix d’achat quant à un terrain, à une maison ou encore en plus des loyers, les nouveaux propriétaires et locataires doivent souvent se préparer pour un autre budget afin d’améliorer leur accessibilité à l’eau et à l’électricité.