Lutte contre les intermédiaires informels
La recherche d’une maison qui pourra bien accueillir sa famille, dans un bon quartier demeure un véritable souci pour les locataires. Conscients de la situation, des « mpanera » ou intermédiaires souvent informels en profitent pour gagner de l’argent, en prenant des « soi- disant pas-de- porte » ou droit de visite avant que le contrat de location soit conclu ou pas avec le propriétaire. En principe, ce montant s’élève à 5000 à 10 000 ariary si le contrat n’est pas conclu. Et, 20% du montant de la location si la maison est attribuée au client. Pour améliorer leur part de marché, les agences immobilières professionnelles ont apporté un changement.
Pour l’agence OFIM, par exemple, les visites sont gratuites dans les deux cas. Les agents commerciaux sont aussi véhiculés pour faciliter les déplacements. Par ailleurs, les agences choisissent de plus en plus, d’intégrer les avancées technologiques dans leurs méthodes de travail. Les réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook, et les sites internet sont très en vogue actuellement. L’avantage de ces outils est qu’il permet aux clients d’avoir un aperçu du local ou de l’habitation à louer sans se déplacer, ainsi que les prix. Les recherches peuvent même concerner des habitats dans les provinces ou à l’étranger.
Lantoniaina Razafindramiadana
Mercredi 08 fevrier 2012 source lexpressmada.com