A Madagascar, le secteur immobilier est resté stable malgré les crises économiques et politiques que le pays a traversées. Si l’an dernier, la vente de terrain a connu un essor sans précédent, aujourd’hui, la clientèle se tourne vers une autre branche de l’immobilier : les appartements.
L’achat d’appartement
De nombreux projets immobiliers ont vu le jour à Madagascar depuis quelques années et la majorité d’entre eux concerne la construction d’immeubles regroupant des appartements à vendre. Jusqu’à nos jours, nombreux appartements ont trouvé acquéreurs même si la clientèle se compose surtout d’étrangers et de quelques rares hauts placés malgaches. Quoi qu’il en soit, l’achat d’un appartement dans la grande île commence à intéresser les étrangers du fait que ces logements sont plus sécurisants et surtout plus luxueux.
La location d’appartement
Bien plus que la vente, la location d’appartement est un business florissant dans la grande île, surtout dans la capitale et en région côtière. Que les locations soient souscrites à court ou à long terme, ce secteur a le vent en poupe et cela s’explique par diverses raisons.
D’abord, il y a l’aspect sécuritaire des appartements. En effet, vivre en appartement c’est s’offrir un service de sécurité dont les frais sont déjà inclus dans le loyer mensuel. Les risques de cambriolage sont donc réduits.
Ensuite, il y a le service parking. En effet, les foyers peinent à trouver un logement avec parking surtout dans la capitale d’où l’engouement pour les appartements. En effet, lorsqu’on loue un appartement, on obtient automatiquement une place de parking inclue sur le territoire de l’immeuble. Ainsi, les locataires n’ont plus à s’occuper à chercher une place ni de s’inquiéter pour la sécurité de leur véhicule.
Enfin, il y a les services supplémentaires qui concerne le nettoyage des lieux ou encore l’entretien du jardin. Lorsqu’on vit en appartement, on a toujours accès à un lieu de vie sain et à un jardin bien entretenu sans qu’on ait à s’en occuper soi-même. Il est donc plus pratique d’y vivre surtout si on n’a pas le temps de s’en occuper.